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Expiration des mots de passe Windows 10 : inutile selon Microsoft - sam time

Expiration des mots de passe Windows 10 : inutile selon Microsoft

Sécurité : La création de nouveaux mots de passe est un casse-tête pour les utilisateurs - et un risque pour la sécurité. Alors pourquoi devons-nous encore le faire si souvent ?

Faire expirer les mots de passe est un moyen obsolète de protéger les comptes utilisateurs - et peut même faire plus de mal que de bien. Non seulement les mots de passe qui expirent tous les 30 ou 60 jours constituent un casse-tête pour les utilisateurs qui doivent en inventer un nouveau, et s'en souvenir, mais ils n'améliorent peut-être pas du tout la sécurité.
Microsoft a à présent changé de position, supprimant sa recommandation en faveur de l'expiration des mots de passe, qui figurait auparavant parmi ses directives de sécurité pour Windows 10 et Windows Server. Microsoft a annoncé son intention de supprimer l'expiration du mot de passe de ses lignes directrices.

Comme l'explique Microsoft : "L'expiration périodique du mot de passe n'est une défense que contre la probabilité qu'un mot de passe (ou hash) soit volé pendant son intervalle de validité et soit utilisé de manière non autorisée."
"Si un mot de passe n'est jamais volé, il n'est pas nécessaire qu'il expire. Et si vous avez la preuve qu'un mot de passe a été volé, vous agiriez probablement immédiatement plutôt que d'attendre l'expiration pour régler le problème." Et de poursuivre : "L'expiration périodique du mot de passe est une ancienne et obsolète atténuation de très faible valeur."
Plutôt que de dépendre du fait que les utilisateurs modifient les mots de passe (et les écrivent ensuite sur un post-it), les entreprises devraient avoir une approche plus large de l'authentification et de la sécurité, estime l'éditeur.
Et cela ne signifie pas de remettre en cause les exigences relatives à la longueur, à l'historique ou à la complexité minimale des mots de passe. En retirant l'expiration du mot de passe de sa base de référence, les entreprises peuvent prendre leurs propres décisions sans être pénalisées par les auditeurs, considère Microsoft.
"En le retirant de nos principes plutôt que de recommander une valeur particulière ou l'absence d'expiration, les organisations peuvent choisir ce qui convient le mieux à leurs besoins perçus sans contredire nos directives. En même temps, nous devons réitérer que nous recommandons fortement des protections supplémentaires même si elles ne peuvent pas être exprimées dans notre baseline."
Microsoft prédit la mort du mot de passe depuis plus d'une décennie, et a récemment intensifié ses efforts pour sa concrétisation. Il soutient depuis longtemps que les mots de passe sont peu pratiques, peu sûrs et coûteux pour les entreprises. Il fait valoir qu'il devraient être remplacés par l'authentification à plusieurs facteurs et la biométrie (même si la biométrie comporte ses propres problèmes).

Les utilisateurs ont leurs propres stratégies

Microsoft n'est pas le seul à faire ce saut. Le National Cyber Security Center (NCSC) du Royaume-Uni a récemment publié un ensemble bonnes pratiques relatives aux mots de passe - avertissant qu'une mauvaise stratégie faisant reposer trop de pression sur les utilisateurs pouvait rendre votre entreprise moins sûre.
Inévitablement, les utilisateurs concevront leurs propres mécanismes d'adaptation pour faire face à la "surcharge de mots de passe". Cela inclut la réutilisation du même mot de passe sur différents systèmes, l'utilisation de stratégies de création de mots de passe simples et prévisibles, ou l'écriture de mots de passe là où ils peuvent être facilement trouvés, prévient le NCSC.
Le NCSC recommande aux organisations de réduire leur dépendance à l'égard des mots de passe et d'utiliser l'authentification unique (SSO) ou la biométrie lorsqu'elle est disponible (qui comporte ses propres risques).
Surveiller les systèmes de mots de passe pour déceler les comportements inhabituels, utiliser le throttling de comptes pour se défendre contre les attaques par force brute, et mettre sur liste noire les mots de passe communs ou susceptibles d'être devinés figurent parmi les bonnes pratiques, selon le rapport. L'authentification multifactorielle pour les comptes importants ou vulnérables est également une bonne politique.
Mais le fait de forcer des changements de mots de passe réguliers nuit plutôt qu'il n'améliore la sécurité, considère le NCSC. Les utilisateurs sont susceptibles de choisir de nouveaux mots de passe qui ne sont que des variations mineures de l'ancien. Par ailleurs, un mot de passe volé est généralement utilisé immédiatement par les pirates, donc le réinitialiser jusqu'à 90 jours après est plutôt une perte de temps.
En dépit des appels des experts en sécurité à mettre fin à l'expiration des mots de passe, cette pratique demeure courante dans de nombreuses organisations, sinon la plupart. Cela s'explique surtout par l'inertie organisationnelle - il fut un temps où changer régulièrement les mots de passe semblait encore être une bonne idée, et la nouvelle approche n'a pas été adoptée par l'équipe de sécurité technique.
Il y a aussi beaucoup de prudence lorsqu'il s'agit de changer les politiques informatiques ; personne ne veut être celui qui remet en cause le statu quo et engage ainsi sa responsabilité en cas d'incident.
Mais beaucoup d'entreprises se reposent sur une politique agressive d'expiration des mots de passe comme seule défense contre le détournement de comptes, alors qu'en réalité la sécurité doit aller bien au-delà.
Au moins pour l'instant, les mots de passe ont encore leur place, mais nous contraindre à de nouvelles variations à quelques semaines d'intervalle pourrait bientôt est une pratique appartenant au passé.

L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams- sam time-


L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams

La start-up Spatial, spécialiste de la réunion immersive, renforce son partenariat avec Microsoft. Elle a annoncé son intégration dans Teams à la conférence Build 2019. Une étape essentielle pour s'imbriquer sans friction dans les workflows des grandes entreprises.

L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams
L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams
A la conférence Build 2019, la start-up Spatial a donné des nouvelles de son partenariat avec Microsoft. Son application de travail collaboratif immersif peut désormais s'intégrer directement dans Microsoft Teams via un connecteur. Comme le souligne Anand Agarawala, le CEO de la jeune pousse, cela facilite grandement son adoption par les entreprises en leur permettant de l'insérer sans effort au sein de leurs workflows existants.
Lors de la keynote du 6 mai, Spatial a mis en avant son client Mattel, qui avait été annoncé lors de la keynote de Microsoft au MWC 2019 pour la présentation d'HoloLens 2. A l'occasion de l'évènement, la start-up a confié à L'Usine Digitale qu'elle a d’autres grands clients qu’elle ne peut pas citer pour le moment. Ils s'en servent notamment pour faire de la formation en temps réel pour le retail, ou des revues de conception collaboratives.
COLLABORATIF ET MULTI-SUPPORT
Nous avons eu droit à une démonstration de l’application lors de la conférence. Elle se compose de plusieurs éléments, donc un menu qui peut être appelé en mettant sa main à plat, paume vers le haut. On peut y sélectionner des documents (2D ou 3D) dans une liste (soit en local ou sur OneDrive) puis les placer dans l’espace commun.
Ce dernier se compose d’un ou plusieurs murs de documents assez typiques de la philosophie du design thinking. Plusieurs participants peuvent interagir avec (en modifier l’échelle, y faire des annotations en 3D ou via des notes autocollantes), peu importe qu'ils soient présents physiquement dans la pièce ou seulement virtuellement, sous forme d'avatar.
Spatial est compatible avec de multiples appareils. Nous avons fait notre démonstration avec un casque HoloLens 2, mais le premier HoloLens est aussi supporté, de même que Magic Leap One, des smartphones Apple ou Android, ou même des ordinateurs (en vidéoconférence via une webcam apparaissant comme une fenêtre 2D). L'application utilise le service cloud Spatial Anchor de Microsoft pour synchroniser les objets 3D entre HoloLens, ARKit et AR Core.

La bande passante requise pour utiliser l'application est actuellement de "15 à 20 Mbps en débit montant et descendant". La start-up précise qu'elle s'est attachée à rendre la connexion compatible avec les réseaux d’entreprise.
PRIORITÉ AUX FORTUNE 500
Les avatars ont un look réaliste plutôt convaincant, même si l’expression de leur visage reste figée. Détail impressionnant : ils sont générés en 2 minutes à partir d’une simple photo 2D. Jinha Lee, CTO de Spatial, nous a précisé travailler au développement d'avatars encore plus réalistes, dont les visages seront animés. La start-up prépare également des intégrations dans plus de logiciels (on pense notamment à Slack), et veut augmenter le nombre de participants possibles, qui est limité pour le moment à 16 par sessions. Enfin, Jinha Lee nous a confié s'intéresser de près à une compatibilité avec Oculus Quest.
L'offre officielle de Spatial sera lancée en juin, mais la start-up ne travaille pour le moment qu’avec des entreprises du classement Fortune 500. Cela s’explique entre autres par le coût actuel de sa solution (une somme à six chiffres), qui découle de son nombre réduit d'effectifs. Mais ces très grandes entreprises sont aussi des clients intéressants car leurs équipes sont généralement réparties sur de nombreux sites géographiques différents. Le coût de la solution est donc rapidement rentabilisé grâce à l’économie des frais de transport aérien. La start-up prévoit d’ouvrir son business model à d'autres entreprises à plus ou moins court terme, mais n'a pas su nous donner plus de précisions.

Microsoft intègre le noyau Linux à Windows 10-sam time-


Microsoft intègre le noyau Linux à Windows 10

Le lancement de la Windows 10 May 2019 Update est imminent. En attendant, Microsoft planche sur l'intégration du kernel Linux à son OS. Une grande première prévue pour l'été.


[Mis à jour le 9 mai  2019 à 18h10] Microsoft va intégrer pour la première fois le noyau Linux dans Windows. Le kernel Linux sera introduit pour améliorer le Windows Subsystem for Linux (WSL). Conçu pour permettre l'exécution d'applications Linux sur Windows, le WSL se contentait jusqu'ici d'émuler l'API du noyau Linux, mais sans intégrer ce dernier dans son ensemble. Alléger pour l'occasion, le kernel fera son apparition lors de la sortie de la version 2 de WSL. L'objectif est de réduire le temps de lancement des applications Linux en optimisant l'emprunte mémoire et en réduisant le nombre de composants matériels sollicités. La nouvelle mouture du WSL sera proposée aux bêta testeurs des nouvelles versions bi-annuelles de Windows à partir de juin prochain. 
Lancé en juillet 2015, Windows 10 a passé le cap des 800 millions d'appareils actifs selon les dernières données de Microsoft dévoilées en mars 2019. Un volume qui inclut les terminaux Windows 10 de type tablette ou PC, mais également les consoles Xbox One - qui tournent désormais aussi sous le système d'exploitation de Microsoft. Selon NetApplications, la part de marché de Windows 10 a dépassé pour la première fois celle de Windows 7 en décembre 2018. Sur la période, Windows 10 totalise un taux de pénétration de 39,22% contre 36,9% pour Windows 7. 
Après la mise à jour d'Octobre 2018, Microsoft prépare le lancement de la première mise à jour bi-annuelle de Windows 10 pour 2019 attendue courant mai.  Désormais quasi-finalisé, le nouvel opus baptisé Windows 10 May Update est disponible en téléchargement sur MSDN, le site de Microsoft dédié aux développeurs (il s'agit de la build 18362.53). Cette nouvelle itération demande  pas moins de 32 Go d'espace disque pour être installée, et ce en configuration 32-bit comme en 64-bit. Pour mémoire, la version précédente impliquait 16 Go en version 32-bit, et 20 Go en version 64-bit. Microsoft n'indique pas les raisons de ce différentiel. Mais, ce surcroît de ressources pourrait s'expliquer par l'optimisation de l'espace disque (désormais de 7 Go) réservé aux mises à jour, cache et fichiers temporaires.
Pour l'occasion, exit l'appellation Redstone. Le géant du logiciel inaugure pour ses nouvelles versions un nouveau nom de code faisant référence à la période de sortie prévue : 19H1 pour premier semestre 2019.  Les appellations 19H2, 20H1... devraient suivre. Selon Zdnet.com, les noms de code Titanium, Vanadium et Vibranium seraient aussi utilisés en interne par Microsoft pour désigner les trois prochaines mises à jour de Windows 10. 
Parmi les nouveautés les plus saillantes des premières bêtas de 19H,1, on relève :
  •  L'introduction d'une sandbox. Il s'agit d'un environnement containerisé conçu pour isoler l'exécution des applications Windows potentiellement malveillantes.
  • L'optimisation de l'espace disque. 19H1 optimise le volume d'espace disque consacré aux mises à jour, aux applications, aux fichiers temporaires et au cache. Objectif : faire en sorte que ces fonctions critiques aient toujours accès aux ressources nécessaires à leur fonctionnement. 7 Go leur seront dédiés. Un gage de stabilité. Il sera toujours possible néanmoins de désactiver cet espace.
  • S'authentifier sans mot de passe.  A l'instar de nombreux services web et applications mobiles, 19H1 va permettre de s'authentifier via un code envoyé par SMS sur la ligne de téléphone associée au compte Windows, ce qui évitera d'avoir à saisir son mot de passe.
  • Un nouveau thème graphique. Après le Fluent Design qui visait à rendre Windows plus fluide et animé, Microsoft introduit un nouveau thème graphique clair, ou Windows Light (voir capture ci-dessous).
  • Cortana mis en retrait. L'assistant vocal est découplé du menu Démarrer et du moteur de recherche de l'OS et s'intègre désormais directement à la barre de tâches de Windows.  "Cela va permettre à chaque expérience de bénéficier d'innovations indépendantes pour mieux servir leur audience et leurs cas d'usage", argue Microsoft.
  • Le centre de notifications permet de personnaliser plus finement les alertes. Quant à l'assistant vocal Cortana, il est mis en retrait et déactivé par défaut au moment de l'installation.
  • Des améliorations dans Windows Defender Antivirus.
Déjà reportée à  plusieurs reprises, Sets qui était annoncé au menu de la prochaine mise à jour de Windows 10 prévue pour mai a une nouvelle fois été mise sur la touche (dixit Zdnet.com). Sets devait permettre d'ouvrir plusieurs applications, documents ou pages web au sein d'une même fenêtre Windows, à la manière du système multi-onglets d'un navigateur web.  Parmi les raisons invoquées, la fonctionnalité aurait été mal accueillie par les bêta testeurs. Elle nécessiterait par ailleurs un gros travail de développement pour assurer sa compatibilité avec les différentes applications Windows. 
© Capture / JDN
Pour la suite, la seconde mise à jour de Windows 10 pour 2019 (alias 19H2), prévue pour septembre ou octobre, est déjà en préparation, tout comme la version intermédiaire suivante de l'OS dont la sortie devrait intervenir au premier semestre 2020 (20H1).  Microsoft a d'ailleurs dévoilé, très en avance de phase, ses toutes premières préversions. La dernière d'entre-elles (la build 18894) introduit dans le moteur de recherche de l'explorateur de fichiers un mécanisme d'auto-complétion, affichant une série de suggestions de fichiers au fur et à mesure de la saisie du nom d'un document. 
D'après Zdnet, la 20H1 aurait plus précisément pour but d'aboutir à un noyau Windows commun à toutes les offres de Microsoft, en recouvrant y compris le cloud Azure qui utilise jusqu'ici une version personnalisée de Windows Server pour supporter son infrastructure. 

Windows 10 October 2018 Update : les nouveautés

La dernière mise à jour majeure de Windows 10, baptisée Windows 10 October 2018 Update (nom de code : Redstone 5), a été lancée par Micros
oft en octobre 2018.  En janvier 2019, elle serait désormais installée sur quelque 12,4% des PC tournant sous Windows 10 (dixit  Adduplex). Depuis le lancement de Windows 10 en 2015, Microsoft a désormais livré cinq mises à niveau de Windows 10 : la November Update en novembre 2015, l'Anniversary Update en août 2016, la Creators Update en avril 2017, la Fall Creators Update en octobre 2017, l'April 2018 Update en avril 2018, et enfin la Windows 10 October 2018 Update. A l'occasion de cette dernière, l'éditeur a introduit plusieurs évolutions fonctionnelles. Parmi les plus saillantes,  on relève : 
  • Un presse papier. Un presse papier permet de sauvegarder des contenus, textes et images (via copier-coller) puis de les synchroniser entre différents terminaux Windows. 
  •  Your Phone. Une application mobile, baptisée Your Phone, synchronise les photos prises par l'utilisateur via son smartphone sur son ordinateur ou sa tablette Windows. Disponible pour Android et iPhone, elle pourrait s'étendre également à l'avenir à la synchronisation d'autres contenus, comme les SMS et notifications reçus sur mobile. 
  • SwiftKey.  Le système de saisie tactile par swipe (balayage des doigts sur l'écran) de Microsoft, déjà disponible pour Android et iOS, s'intègre pour l'occasion à Windows. 
  • Un moteur de recherche enrichi. Le moteur de recherche de Windows 10 est doté d'un mode de prévisualisation des résultats. 
  • Mode S. La Windows 10 October 2018 Update donne la possibilité de basculer vers le mode S, une configuration qui se veut plus légère et performante de Windows 10 (et disponible à la fois sur processeurs x86 et ARM). Principale contrainte de ce mode : il se limite aux apps du Windows Store, qui permet dés lors d'accueillir des applications ARM, l'objectif étant d'assurer une expérience plus sûre et plus maîtrisée en n'exécutant que des applicatifs validés par Microsoft.
  • Fluent Design (projet Neon).  La nouvelle interface graphique de Windows 10 (Fluent Design) s'étend de manière plus prononcée au sein du navigateur Edge et du bureau Windows. 
Les mises à jour de Windows 10 et d'Office 365 sont désormais synchronisées. Elles interviennent chacune deux fois par an, autour des mois de mars-avril et septembre-octobre. 

Windows 10 : avis et test

Le JDN a testé Windows 10 sur une tablette Surface Pro de première génération. Globalement, Windows 10 est un Windows de bonne facture. La migration vers Windows 10 a bien fonctionné. Tous les logiciels installés initialement (dont certains de génération Windows 7) ont pu migrer sans problème. Lire le test complet du JDN : Windows 10, test et avis de la rédaction

Le futur de Windows 10

Microsoft plancherait sur une alternative à Windows 10 conçue pour les terminaux légers. Pour l'heure non-officielle, l'information se confirme de jour en jour. Basée sur un noyau Windows réécrit (appelé Windows Core Operating System), cette déclinaison se voudrait plus modulaire que sa grande sœur.  Selon Petri.com, elle viserait à répondre au succès de ChromeOS. Baptisée Windows Lite, elle serait dotée d'une interface graphique minimaliste. Nom de de code : Santorini.
L'objectif ? Proposer une alternative à la logique "tout en un" de Windows. Au sein du nouvel édifice, les gestionnaires de fenêtrage, de fichiers et de paramètres seraient toujours présents (voir la capture ci-dessous imaginée par Petri). Prenant nativement en charge des applications Windows modernes (UWP et PWA), Windows Lite qui ne serait pas lancée avant 2020 (dixit Windows Central) pourrait néanmoins supporter les logiciels Win32 via une couche de virtualisation ou de containérisation. 
Capture imaginée par Petri.com de ce que pourrait être la future interface graphique de Windows Lite. © Petri
Toujours d'après Petri, Windows Lite pourrait venir se loger dans deux nouveaux types de device lancés en parallèle, dont les noms de code respectifs seraient Centaurus et Pegasus. Centaurus renverrait à de nouvelles tablettes Windows à écran rabattable en deux parties (concept qui fait déjà l'objet de plusieurs brevets déposés par Microsoft). Quant à Pegasus, il ferait référence à des ordinateurs portables, ou laptops, plus traditionnels. L'interface graphique de Lite se voudrait à la fois moderne, minimaliste et rafraîchie.  

Windows 10 : les prix

  • Windows 10 Familiale : 134,99 euros (tarif officiel de Microsoft), 124 euros (tarif des revendeurs dans le meilleur des cas)
  • Windows 10 Pro 261,99 euros (tarif officiel), 154,90 euros (tarif des revendeurs dans le meilleur des cas)
  • Windows 10 Pro for Workstations édition taillée pour les stations de travail musclées (comptant jusqu'à 6 To de RAM et 4 processeurs physiques)
  • Windows 10 S : gratuit (les acquéreurs d'un terminal équipé de Windows 10 S ont la possibilité de migrer gratuitement vers Windows 10 Pro  d'ici le 31 mars 2018) 
  • Windows 10 Enterprise en S Mode
  • Windows 10 Mobile gratuit.
  • Windows 10 Education prix non communiqués (disponible par le biais de contrats de licences en volume).
  • Windows 10 Enterprise : prix non communiqués (disponible par le biais de contrats de licences en volume).
  • Windows 10 IoT prix non communiqués

Windows 10 ISO : installer via CD, DVD ou clé USB

Pour installer (ou réinstaller) Windows 10 depuis un support externe (que ce soit CD, DVD ou clé USB), il est recommandé de recourir à l'outil de création de support proposé par Microsoft. Il permet d'enregistrer une image disque de Windows 10 (ou ISO) sur le support de son choix. Toutes les éditions de Windows 10 sont proposées par le biais de l'outil hormis Windows 10 Enterprise.Télécharger l'outil de création d'ISO de Windows 10

Windows 10 Update : mettre à jour son PC


Les utilisateurs souhaitant passer à Windows 10 peuvent le faire via le site de Microsoft. D'après l'éditeur, Windows 10 a la capacité de faire tourner toutes les applications conçues pour Windows 7 et Windows 8. L'OS est aussi conçue pour faire marcher tous les pilotes compatibles avec ces anciennes versions. Une fois installé, Windows 10 fait l'objet de mises à jour régulières, visant à en optimiser sécurité et performances. Deux fois par an, l'OS bénéficie, aussi, d'une mise à niveau apportant de nouvelles fonctionnalités. A noter : Microsoft publie sur son site une page récapitulant toutes les mises à jour de Windows 10 et Windows 10 Mobile (qu'elles soient en bêta ou en version finalisée).

Microsoft bloque la mise à jour de mai 2019 sur les PC utilisant un stockage USB ou des cartes SD- sam time-

Microsoft bloque la mise à jour de mai 2019 sur les PC utilisant un stockage USB ou des cartes SD

Technologie : Seule solution : les utilisateurs doivent retirer tout périphérique de stockage USB et toute carte SD et redémarrer l'installation de la mise à jour de mai 2019.
Microsoft a publié aujourd'hui un document avertissant les utilisateurs de Windows 10 que la mise à jour imminente de mai 2019 pourrait ne pas s'installer sur leurs systèmes s'ils utilisaient des périphériques de stockage USB externes ou des cartes SD.
 
Le fabricant de systèmes d'exploitation a invoqué des problèmes de "réaffectation de disque inappropriée" pour expliquer le blocage de la mise à jour de mai 2019.
"Une réaffectation de lecteur inappropriée peut se produire sur les ordinateurs éligibles disposant d'un périphérique USB externe ou d'une carte mémoire SD lors de l'installation de la mise à jour de mai 2019", a déclaré la société. "Pour cette raison, la mise à jour de mai 2019 est actuellement bloquée sur ces ordinateurs."
Le message d'erreur suivant s'affichera pour les utilisateurs de Windows 10 où la mise à jour de mai 2019 a été bloquée en raison de périphériques de stockage USB ou de cartes SD problématiques.
 
Heureusement, il existe une solution rapide et simple à ce problème. Microsoft recommande aux utilisateurs de supprimer tout support USB ou SD externe et de redémarrer l'installation de la mise à jour de mai 2019.
Cela inclut les clés USB, les disques durs externes USB ou les cartes SD insérées dans des lecteurs de cartes. À moins que les utilisateurs exécutent Windows 10 à partir de l'un de ces périphériques (ce qui est hautement improbable), la plupart des utilisateurs pourront contourner ce problème.
À long terme, Microsoft prévoit de résoudre le problème de "réaffectation de lecteur inappropriée" dans une future mise à jour de maintenance de Windows 10.
Microsoft ne bloquera pas la mise à jour de mai 2019 pour tous les utilisateurs de Windows 10, mais uniquement pour ceux ayant installé la mise à jour d'avril 2018 (Windows 10, version 1803) ou la mise à jour d'octobre 2018 (Windows 10, version 1809). Les utilisateurs de versions antérieures de Windows 10 pourront passer à la mise à jour de mai 2019 sans problème.
Comme son nom l'indique, la mise à jour de mai 2019 sera publiée le mois prochain. Les utilisateurs de Windows 10 peuvent retarder la mise à jour semestrielle s'ils le souhaitent. Pour les utilisateurs qui ne peuvent pas attendre, les packages de mise à jour de mai 2019 sont déjà disponibles sur MSDN.
Source : Microsoft blocks Windows 10 May 2019 Update on PCs that use USB storage or SD cards 

Microsoft change la façon dont Windows 10 déconnecte les périphériques de stockage USB- sam time-

Microsoft change la façon dont Windows 10 déconnecte les périphériques de stockage USB

Technologie : Conséquence : les périphériques de stockage USB seront plus faciles à retirer mais deviendront plus lents. Voici comment faire pour conserver la configuration d'origine.

Microsoft a modifié la façon dont Windows 10 gère la déconnexion d'un périphérique de stockage USB ou Thunderbolt. Cette modification concerne les clés USB, les disques durs externes, et même les connexions de transfert de données USB établies entre les PC et les smartphones.


Le changement a pris effet avec le déploiement à grande échelle de la version 1809 de Windows 10, la mise à jour October 2018.

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Pourquoi est-ce important ?

Jusqu'à présent, la politique par défaut dans toutes les versions précédentes de Windows lors de la déconnexion d'un périphérique de stockage USB était le réglage "Better performance". A partir de Windows 10 v1809, c'est devenu "Quick removal". Et la différence entre les deux est significative.

"De meilleures performances" signifie que Windows gère les transferts de données et les opérations de stockage d'une manière qui améliore les performances. Cela inclut la mise en cache des données pendant leur transfert, leur ouverture ou la préparation de certaines opérations.

Cette disponibilité constante de Windows signifiait que tout utilisateur souhaitant déconnecter un périphérique de stockage USB ou Thunderbolt devait passer par le processus "Safely Remove Hardware", ce qui signifiait le déclenchement d'une éjection manuelle.

Tous les utilisateurs de Windows connaissent la procédure. Et bien des utilisateurs n'en avaient cure. Conséquence : nombre de clés USB "arrachées" à des PC, avec comme conséquence des données corrompues à foison.

Dans Windows 10 v1809, l'état par défaut de tous les périphériques de stockage USB et Thunderbolt est devenu "Quick removal", qui est un état où les périphériques de stockage externes peuvent être déconnectés sans suivre le processus "Safely Remove Hardware".

Mais il y a des inconvénients à passer à ce réglage par défaut. La première est que Windows ne met plus en cache les données écrites sur le disque, ce qui signifie que le transfert des données vers un périphérique de stockage externe peut prendre plus de temps.

Alors comment conserver la gestion des périphériques de stockage externes sur "Meilleures performances" ?

Microsoft permettra aux utilisateurs d'écraser l'état par défaut "Suppression rapide" pour chaque périphérique.

Ceci s'adresse aux utilisateurs qui copient des sauvegardes sur des disques durs externes ou qui copient des slides PowerPoint importants ou d'autres documents commerciaux sur une clé USB et qui souhaitent s'assurer que les transferts de données se font de manière sûre, rapide et sans problème potentiel. Bref, à ceux qui veulent aussi continuer à éjecter leurs clés USB en allant taquiner les icônes cachées en bas à droite de l'écran Windows.

La procédure est la suivante, mais les utilisateurs doivent savoir qu'une fois un périphérique de stockage USB/Thunderbolt configuré sur "Meilleures performances", ils devront également suivre le processus "Retirer le matériel en toute sécurité".
  • Connectez l'appareil à l'ordinateur.
  • Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Démarrer, puis sélectionnez Explorateur de fichiers.
  • Dans l'Explorateur de fichiers, identifiez la lettre ou l'étiquette associée au périphérique (par exemple, la clé USB (D :) dans l'image ci-dessous).
  • Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Démarrer, puis sélectionnez Gestion des disques.
  • Dans la partie inférieure de la fenêtre Gestion des disques, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'étiquette du périphérique, puis cliquez sur Propriétés.
  • Sélectionnez Stratégies, puis sélectionnez la stratégie que vous souhaitez utiliser.

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