L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams- sam time-


L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams

La start-up Spatial, spécialiste de la réunion immersive, renforce son partenariat avec Microsoft. Elle a annoncé son intégration dans Teams à la conférence Build 2019. Une étape essentielle pour s'imbriquer sans friction dans les workflows des grandes entreprises.

L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams
L'application de réalité augmentée Spatial s'intègre à Microsoft Teams
A la conférence Build 2019, la start-up Spatial a donné des nouvelles de son partenariat avec Microsoft. Son application de travail collaboratif immersif peut désormais s'intégrer directement dans Microsoft Teams via un connecteur. Comme le souligne Anand Agarawala, le CEO de la jeune pousse, cela facilite grandement son adoption par les entreprises en leur permettant de l'insérer sans effort au sein de leurs workflows existants.
Lors de la keynote du 6 mai, Spatial a mis en avant son client Mattel, qui avait été annoncé lors de la keynote de Microsoft au MWC 2019 pour la présentation d'HoloLens 2. A l'occasion de l'évènement, la start-up a confié à L'Usine Digitale qu'elle a d’autres grands clients qu’elle ne peut pas citer pour le moment. Ils s'en servent notamment pour faire de la formation en temps réel pour le retail, ou des revues de conception collaboratives.
COLLABORATIF ET MULTI-SUPPORT
Nous avons eu droit à une démonstration de l’application lors de la conférence. Elle se compose de plusieurs éléments, donc un menu qui peut être appelé en mettant sa main à plat, paume vers le haut. On peut y sélectionner des documents (2D ou 3D) dans une liste (soit en local ou sur OneDrive) puis les placer dans l’espace commun.
Ce dernier se compose d’un ou plusieurs murs de documents assez typiques de la philosophie du design thinking. Plusieurs participants peuvent interagir avec (en modifier l’échelle, y faire des annotations en 3D ou via des notes autocollantes), peu importe qu'ils soient présents physiquement dans la pièce ou seulement virtuellement, sous forme d'avatar.
Spatial est compatible avec de multiples appareils. Nous avons fait notre démonstration avec un casque HoloLens 2, mais le premier HoloLens est aussi supporté, de même que Magic Leap One, des smartphones Apple ou Android, ou même des ordinateurs (en vidéoconférence via une webcam apparaissant comme une fenêtre 2D). L'application utilise le service cloud Spatial Anchor de Microsoft pour synchroniser les objets 3D entre HoloLens, ARKit et AR Core.

La bande passante requise pour utiliser l'application est actuellement de "15 à 20 Mbps en débit montant et descendant". La start-up précise qu'elle s'est attachée à rendre la connexion compatible avec les réseaux d’entreprise.
PRIORITÉ AUX FORTUNE 500
Les avatars ont un look réaliste plutôt convaincant, même si l’expression de leur visage reste figée. Détail impressionnant : ils sont générés en 2 minutes à partir d’une simple photo 2D. Jinha Lee, CTO de Spatial, nous a précisé travailler au développement d'avatars encore plus réalistes, dont les visages seront animés. La start-up prépare également des intégrations dans plus de logiciels (on pense notamment à Slack), et veut augmenter le nombre de participants possibles, qui est limité pour le moment à 16 par sessions. Enfin, Jinha Lee nous a confié s'intéresser de près à une compatibilité avec Oculus Quest.
L'offre officielle de Spatial sera lancée en juin, mais la start-up ne travaille pour le moment qu’avec des entreprises du classement Fortune 500. Cela s’explique entre autres par le coût actuel de sa solution (une somme à six chiffres), qui découle de son nombre réduit d'effectifs. Mais ces très grandes entreprises sont aussi des clients intéressants car leurs équipes sont généralement réparties sur de nombreux sites géographiques différents. Le coût de la solution est donc rapidement rentabilisé grâce à l’économie des frais de transport aérien. La start-up prévoit d’ouvrir son business model à d'autres entreprises à plus ou moins court terme, mais n'a pas su nous donner plus de précisions.

Zen Flowchart : un outil simple et gratuit pour représenter vos workflow ou processus-sam time-

Zen Flowchart : un outil simple et gratuit pour représenter vos workflow ou processus

Minimaliste et intuitif, ce petit produit web vous permettra de générer et partager / exporter des représentations de vos tunnels de conversions, organigrammes, process....


Les Flow Charts ou organigrammes sont des représentations graphiques censées illustrer vos workflows, processus en tout genre (vente, acquisition…), fonctionnement d’algorithme, relations organisationnelles, etc. Bref, ils servent à matérialiser la trame et les relations entres différents éléments. On peut les tracer à la main ou utiliser toute sorte de logiciels, plus ou moins faits pour ça, plus ou moins ergonomiques.

Zen Flowchart est un petit outil gratuit qui propose d’offrir le minimum de distraction pour réaliser ce type de représentation graphique. L’idée derrière ce produit, c’est d’épurer au maximum l’interface pour ce focus sur la réalisation de ses flowcharts. Comme le précise leur présentation, ici, pas de fonctionnalités poussées et souvent inutiles, on se concentre sur les incontournables avec un minimum de boutons.





Quand on rentre dans un le concret, tout ce génère au clic, et il en est de même lorsqu’il s’agit de créer des mises en relation entre les différents éléments de la représentation graphique.

Au niveau de la personnalisation, on est également dans un effort de minimalisme. On peut ainsi personnaliser la couleur, le texte ou les lignes et c’est tout.


La création d’un compte permet de conserver l’ensemble des graphiques. En terme d’exports, il est possible de publier les flowcharts qui sont synchronisés avec l’éditeur ou d’exporter les documents en PNG.
Un outil simple qui répond à des besoins simples…de manière simple.

Microsoft intègre le noyau Linux à Windows 10-sam time-


Microsoft intègre le noyau Linux à Windows 10

Le lancement de la Windows 10 May 2019 Update est imminent. En attendant, Microsoft planche sur l'intégration du kernel Linux à son OS. Une grande première prévue pour l'été.


[Mis à jour le 9 mai  2019 à 18h10] Microsoft va intégrer pour la première fois le noyau Linux dans Windows. Le kernel Linux sera introduit pour améliorer le Windows Subsystem for Linux (WSL). Conçu pour permettre l'exécution d'applications Linux sur Windows, le WSL se contentait jusqu'ici d'émuler l'API du noyau Linux, mais sans intégrer ce dernier dans son ensemble. Alléger pour l'occasion, le kernel fera son apparition lors de la sortie de la version 2 de WSL. L'objectif est de réduire le temps de lancement des applications Linux en optimisant l'emprunte mémoire et en réduisant le nombre de composants matériels sollicités. La nouvelle mouture du WSL sera proposée aux bêta testeurs des nouvelles versions bi-annuelles de Windows à partir de juin prochain. 
Lancé en juillet 2015, Windows 10 a passé le cap des 800 millions d'appareils actifs selon les dernières données de Microsoft dévoilées en mars 2019. Un volume qui inclut les terminaux Windows 10 de type tablette ou PC, mais également les consoles Xbox One - qui tournent désormais aussi sous le système d'exploitation de Microsoft. Selon NetApplications, la part de marché de Windows 10 a dépassé pour la première fois celle de Windows 7 en décembre 2018. Sur la période, Windows 10 totalise un taux de pénétration de 39,22% contre 36,9% pour Windows 7. 
Après la mise à jour d'Octobre 2018, Microsoft prépare le lancement de la première mise à jour bi-annuelle de Windows 10 pour 2019 attendue courant mai.  Désormais quasi-finalisé, le nouvel opus baptisé Windows 10 May Update est disponible en téléchargement sur MSDN, le site de Microsoft dédié aux développeurs (il s'agit de la build 18362.53). Cette nouvelle itération demande  pas moins de 32 Go d'espace disque pour être installée, et ce en configuration 32-bit comme en 64-bit. Pour mémoire, la version précédente impliquait 16 Go en version 32-bit, et 20 Go en version 64-bit. Microsoft n'indique pas les raisons de ce différentiel. Mais, ce surcroît de ressources pourrait s'expliquer par l'optimisation de l'espace disque (désormais de 7 Go) réservé aux mises à jour, cache et fichiers temporaires.
Pour l'occasion, exit l'appellation Redstone. Le géant du logiciel inaugure pour ses nouvelles versions un nouveau nom de code faisant référence à la période de sortie prévue : 19H1 pour premier semestre 2019.  Les appellations 19H2, 20H1... devraient suivre. Selon Zdnet.com, les noms de code Titanium, Vanadium et Vibranium seraient aussi utilisés en interne par Microsoft pour désigner les trois prochaines mises à jour de Windows 10. 
Parmi les nouveautés les plus saillantes des premières bêtas de 19H,1, on relève :
  •  L'introduction d'une sandbox. Il s'agit d'un environnement containerisé conçu pour isoler l'exécution des applications Windows potentiellement malveillantes.
  • L'optimisation de l'espace disque. 19H1 optimise le volume d'espace disque consacré aux mises à jour, aux applications, aux fichiers temporaires et au cache. Objectif : faire en sorte que ces fonctions critiques aient toujours accès aux ressources nécessaires à leur fonctionnement. 7 Go leur seront dédiés. Un gage de stabilité. Il sera toujours possible néanmoins de désactiver cet espace.
  • S'authentifier sans mot de passe.  A l'instar de nombreux services web et applications mobiles, 19H1 va permettre de s'authentifier via un code envoyé par SMS sur la ligne de téléphone associée au compte Windows, ce qui évitera d'avoir à saisir son mot de passe.
  • Un nouveau thème graphique. Après le Fluent Design qui visait à rendre Windows plus fluide et animé, Microsoft introduit un nouveau thème graphique clair, ou Windows Light (voir capture ci-dessous).
  • Cortana mis en retrait. L'assistant vocal est découplé du menu Démarrer et du moteur de recherche de l'OS et s'intègre désormais directement à la barre de tâches de Windows.  "Cela va permettre à chaque expérience de bénéficier d'innovations indépendantes pour mieux servir leur audience et leurs cas d'usage", argue Microsoft.
  • Le centre de notifications permet de personnaliser plus finement les alertes. Quant à l'assistant vocal Cortana, il est mis en retrait et déactivé par défaut au moment de l'installation.
  • Des améliorations dans Windows Defender Antivirus.
Déjà reportée à  plusieurs reprises, Sets qui était annoncé au menu de la prochaine mise à jour de Windows 10 prévue pour mai a une nouvelle fois été mise sur la touche (dixit Zdnet.com). Sets devait permettre d'ouvrir plusieurs applications, documents ou pages web au sein d'une même fenêtre Windows, à la manière du système multi-onglets d'un navigateur web.  Parmi les raisons invoquées, la fonctionnalité aurait été mal accueillie par les bêta testeurs. Elle nécessiterait par ailleurs un gros travail de développement pour assurer sa compatibilité avec les différentes applications Windows. 
© Capture / JDN
Pour la suite, la seconde mise à jour de Windows 10 pour 2019 (alias 19H2), prévue pour septembre ou octobre, est déjà en préparation, tout comme la version intermédiaire suivante de l'OS dont la sortie devrait intervenir au premier semestre 2020 (20H1).  Microsoft a d'ailleurs dévoilé, très en avance de phase, ses toutes premières préversions. La dernière d'entre-elles (la build 18894) introduit dans le moteur de recherche de l'explorateur de fichiers un mécanisme d'auto-complétion, affichant une série de suggestions de fichiers au fur et à mesure de la saisie du nom d'un document. 
D'après Zdnet, la 20H1 aurait plus précisément pour but d'aboutir à un noyau Windows commun à toutes les offres de Microsoft, en recouvrant y compris le cloud Azure qui utilise jusqu'ici une version personnalisée de Windows Server pour supporter son infrastructure. 

Windows 10 October 2018 Update : les nouveautés

La dernière mise à jour majeure de Windows 10, baptisée Windows 10 October 2018 Update (nom de code : Redstone 5), a été lancée par Micros
oft en octobre 2018.  En janvier 2019, elle serait désormais installée sur quelque 12,4% des PC tournant sous Windows 10 (dixit  Adduplex). Depuis le lancement de Windows 10 en 2015, Microsoft a désormais livré cinq mises à niveau de Windows 10 : la November Update en novembre 2015, l'Anniversary Update en août 2016, la Creators Update en avril 2017, la Fall Creators Update en octobre 2017, l'April 2018 Update en avril 2018, et enfin la Windows 10 October 2018 Update. A l'occasion de cette dernière, l'éditeur a introduit plusieurs évolutions fonctionnelles. Parmi les plus saillantes,  on relève : 
  • Un presse papier. Un presse papier permet de sauvegarder des contenus, textes et images (via copier-coller) puis de les synchroniser entre différents terminaux Windows. 
  •  Your Phone. Une application mobile, baptisée Your Phone, synchronise les photos prises par l'utilisateur via son smartphone sur son ordinateur ou sa tablette Windows. Disponible pour Android et iPhone, elle pourrait s'étendre également à l'avenir à la synchronisation d'autres contenus, comme les SMS et notifications reçus sur mobile. 
  • SwiftKey.  Le système de saisie tactile par swipe (balayage des doigts sur l'écran) de Microsoft, déjà disponible pour Android et iOS, s'intègre pour l'occasion à Windows. 
  • Un moteur de recherche enrichi. Le moteur de recherche de Windows 10 est doté d'un mode de prévisualisation des résultats. 
  • Mode S. La Windows 10 October 2018 Update donne la possibilité de basculer vers le mode S, une configuration qui se veut plus légère et performante de Windows 10 (et disponible à la fois sur processeurs x86 et ARM). Principale contrainte de ce mode : il se limite aux apps du Windows Store, qui permet dés lors d'accueillir des applications ARM, l'objectif étant d'assurer une expérience plus sûre et plus maîtrisée en n'exécutant que des applicatifs validés par Microsoft.
  • Fluent Design (projet Neon).  La nouvelle interface graphique de Windows 10 (Fluent Design) s'étend de manière plus prononcée au sein du navigateur Edge et du bureau Windows. 
Les mises à jour de Windows 10 et d'Office 365 sont désormais synchronisées. Elles interviennent chacune deux fois par an, autour des mois de mars-avril et septembre-octobre. 

Windows 10 : avis et test

Le JDN a testé Windows 10 sur une tablette Surface Pro de première génération. Globalement, Windows 10 est un Windows de bonne facture. La migration vers Windows 10 a bien fonctionné. Tous les logiciels installés initialement (dont certains de génération Windows 7) ont pu migrer sans problème. Lire le test complet du JDN : Windows 10, test et avis de la rédaction

Le futur de Windows 10

Microsoft plancherait sur une alternative à Windows 10 conçue pour les terminaux légers. Pour l'heure non-officielle, l'information se confirme de jour en jour. Basée sur un noyau Windows réécrit (appelé Windows Core Operating System), cette déclinaison se voudrait plus modulaire que sa grande sœur.  Selon Petri.com, elle viserait à répondre au succès de ChromeOS. Baptisée Windows Lite, elle serait dotée d'une interface graphique minimaliste. Nom de de code : Santorini.
L'objectif ? Proposer une alternative à la logique "tout en un" de Windows. Au sein du nouvel édifice, les gestionnaires de fenêtrage, de fichiers et de paramètres seraient toujours présents (voir la capture ci-dessous imaginée par Petri). Prenant nativement en charge des applications Windows modernes (UWP et PWA), Windows Lite qui ne serait pas lancée avant 2020 (dixit Windows Central) pourrait néanmoins supporter les logiciels Win32 via une couche de virtualisation ou de containérisation. 
Capture imaginée par Petri.com de ce que pourrait être la future interface graphique de Windows Lite. © Petri
Toujours d'après Petri, Windows Lite pourrait venir se loger dans deux nouveaux types de device lancés en parallèle, dont les noms de code respectifs seraient Centaurus et Pegasus. Centaurus renverrait à de nouvelles tablettes Windows à écran rabattable en deux parties (concept qui fait déjà l'objet de plusieurs brevets déposés par Microsoft). Quant à Pegasus, il ferait référence à des ordinateurs portables, ou laptops, plus traditionnels. L'interface graphique de Lite se voudrait à la fois moderne, minimaliste et rafraîchie.  

Windows 10 : les prix

  • Windows 10 Familiale : 134,99 euros (tarif officiel de Microsoft), 124 euros (tarif des revendeurs dans le meilleur des cas)
  • Windows 10 Pro 261,99 euros (tarif officiel), 154,90 euros (tarif des revendeurs dans le meilleur des cas)
  • Windows 10 Pro for Workstations édition taillée pour les stations de travail musclées (comptant jusqu'à 6 To de RAM et 4 processeurs physiques)
  • Windows 10 S : gratuit (les acquéreurs d'un terminal équipé de Windows 10 S ont la possibilité de migrer gratuitement vers Windows 10 Pro  d'ici le 31 mars 2018) 
  • Windows 10 Enterprise en S Mode
  • Windows 10 Mobile gratuit.
  • Windows 10 Education prix non communiqués (disponible par le biais de contrats de licences en volume).
  • Windows 10 Enterprise : prix non communiqués (disponible par le biais de contrats de licences en volume).
  • Windows 10 IoT prix non communiqués

Windows 10 ISO : installer via CD, DVD ou clé USB

Pour installer (ou réinstaller) Windows 10 depuis un support externe (que ce soit CD, DVD ou clé USB), il est recommandé de recourir à l'outil de création de support proposé par Microsoft. Il permet d'enregistrer une image disque de Windows 10 (ou ISO) sur le support de son choix. Toutes les éditions de Windows 10 sont proposées par le biais de l'outil hormis Windows 10 Enterprise.Télécharger l'outil de création d'ISO de Windows 10

Windows 10 Update : mettre à jour son PC


Les utilisateurs souhaitant passer à Windows 10 peuvent le faire via le site de Microsoft. D'après l'éditeur, Windows 10 a la capacité de faire tourner toutes les applications conçues pour Windows 7 et Windows 8. L'OS est aussi conçue pour faire marcher tous les pilotes compatibles avec ces anciennes versions. Une fois installé, Windows 10 fait l'objet de mises à jour régulières, visant à en optimiser sécurité et performances. Deux fois par an, l'OS bénéficie, aussi, d'une mise à niveau apportant de nouvelles fonctionnalités. A noter : Microsoft publie sur son site une page récapitulant toutes les mises à jour de Windows 10 et Windows 10 Mobile (qu'elles soient en bêta ou en version finalisée).

MSBuild – Microsoft présente de nouveaux services Cloud et de nouveaux outils dédiés aux développeurs- sam tim-

MSBuild – Microsoft présente de nouveaux services Cloud et de nouveaux outils dédiés aux développeurs


CP Build

Issy-les-Moulineaux, le 6 mai 2019 — Microsoft a présenté lors du premier jour de Build 2019 – la conférence de Microsoft qui rassemble chaque année plus de 6000 développeurs – de nombreuses nouvelles technologies dédiées au développement de solutions intelligentes et fondées sur Microsoft Azure, Microsoft 365 et les capacités du Cloud hybride. Lors de ce moment clé de l’année pour les développeurs du monde entier, des clients et partenaires de Microsoft, tels que Starbucks, J.P. Morgan, Kroger, Spatial, ou encore Epic Games, ont également présenté leurs solutions, axées sur la création d’expériences nouvelles et centrées sur la clientèle finale.
« Au fur et à mesure que l’informatique s’intègre dans tous les aspects de notre vie, les choix que font les développeurs définiront le monde dans lequel nous vivons , Notre engagement, chez Microsoft, est donc de  fournir aux développeurs des outils et des plateformes à même de relever les nombreux défis technologiques auxquels ils font face. En leur donnant l’opportunité d’en faire plus, nous misons sur l’émergence d’expériences inédites qui bénéficieront à tous et toutes. », Satya Nadella, CEO, Microsoft.
Dans son discours d’ouverture, Satya Nadella a ainsi décrit la vision de Microsoft et les opportunités dont disposent les développeurs pour créer la prochaine génération d’applications, que ce soit sur Microsoft Azure, Microsoft Dynamics 365, Power Platform, Microsoft 365 ou encore Microsoft Gaming. En se fondant sur ces services, les développeurs du monde entier peuvent traiter des nouveaux enjeux technologiques, tels que l’IA et la réalité mixte, dans l’objectif de créer des applications et des expériences nouvelles pour les organisations ou les individus.

Microsoft 365 : un Cloud dédié à la productivité et à la collaboration

Microsoft 365 s’adresse à toutes les entreprises, des plus grandes aux plus petites, et à tous les collaborateurs et collaboratrices, fixes comme sur le terrain, et s’appuie notamment sur Microsoft Graph pour déployer tout son potentiel. En analysant en toute sécurité l’ensemble des données issues d’une entreprise, Microsoft Graph est capable de déduire des enseignements sur la meilleure façon d’optimiser la manière dont les équipes travaillent.

Lors de Build 2019 ont été annoncées :
  • La disponibilité générale de Microsoft Graph Data Connect, un service qui aide les organisations à mutualiser les données de productivité de Microsoft Graph avec leurs propres données métiers, en toute sécurité et à grande échelle, à l’aide d’Azure Data Factory. Microsoft Graph Data Connect répond ainsi aux demandes exprimées par les clients de Microsoft : disposer d’applications fondées sur les enseignements de la donnée, tout en donnant aux DSI la possibilité de déplacer et gérer facilement de grandes quantités de données.
    • La connexion de données Microsoft Graph est désormais disponible en tant que fonctionnalité dans Workplace Analytics et comme SKU autonome pour les éditeurs de logiciels indépendants (ISV).
  • L’arrivée prochaine Fluid Framework, une nouvelle plateforme web qui propose de nouvelles façons de collaborer grâce à un format modulaire de document. Fluid Framework brise ainsi les barrières du document traditionnel et ouvre la voie à un tout nouveau type de collaboration et de co-création. Fluid Framework est capable de :
    • Importer du contenu depuis le web ou d’autres applications et le décomposer en différents modules ;
    • Offrir des expériences performantes et collaboratives de création, à des vitesses inégalées sur le marché ;
    • Intégrer des agents intelligents pour assister les équipes dans leur process d’idéation : recherches de contenus, suggestions de visuels, identifications d’experts, traductions de données, et plus encore ;Plus tard cette année seront disponibles :
    • Un SDK de Fluid Framework pour les développeurs ;
    • Les premières expériences Microsoft 365 alimentées par Fluid Framework.
  • De nouvelles fonctionnalités pour la prochaine version de Microsoft Edgedéveloppée sur Chromium OS :
    • Mode IE — abordant plus de 60% des entreprises utilisant plusieurs navigateurs aujourd’hui, le mode IE intègre Internet Explorer directement dans le nouveau Microsoft Edge via un onglet. Cela permet aux entreprises d’exécuter des applications basées sur Internet Explorer héritées dans un navigateur moderne.
    • Un nouvel outil dans Microsoft Edge pour choisir parmi 3 niveaux de confidentialité : illimité, équilibré et strict. Selon l’option choisie, Microsoft Edge ajuste la façon dont les tierces parties récoltent des données, pour plus de transparence et une expérience personnalisée ;
    • Collections — une fonctionnalité pour organiser les nombreux flux d’informations issus du web en les collectant, rangeant, partageant et exportant plus efficacement, tout en intégrant les fonctionnalités d’OfficeToutes ces fonctionnalités, et d’autres encore, seront déployées au fil de l’eau.
  • Une nouvelle approche des agents intelligents qui mise sur la création d’interfaces conversationnelles puissantes fondées dorénavant sur les données et le Machine Learning plutôt que sur des règles prédéfinies et du code. Microsoft envisage un monde où chaque organisation posséderait un agent intelligent, tout comme elle posséderait un site Web. Cette technologie va être intégrée dans les expériences conversationnelles futures, y compris Cortana, et mise à la disposition des développeurs du Microsoft Bot Framework et du Azure Bot Service. Avec la constitution de l’équipe dédiée, nommée, Semantic Machines, la volonté est d’avancer plus rapidement vers cet objectif.
Pour plus d’informations sur les annonces liées à Microsoft 365, y compris sur les nouveaux outils de développement de Windows, Office et Microsoft Teams, c’est par ici.

De l’Intelligent Cloud à l’Intelligent Edge, créer des applications intelligentes grâce aux nouvelles solutions de développement et d’Open Source


  • Lors de Build 2019 ont été annoncées de nouvelles fonctionnalités pour Azure Kubernetes service (AKS), , utilisé par des clients tels qu’ASOS pour gérer à l’échelle leurs infrastructure et applications Cloud :
    • Kubernetes Event-Driven AutoScaling (KEDA) est un composant Open Source, créé en collaboration avec Red Hat, qui prend en charge le déploiement de conteneurs sur Kubernetes avec une approche serverlessévénementielle. Dorénavant disponible en préversion publique, KEDA représente une nouvelle option d’hébergement pour les fonctions Azure qui peuvent être déployées en tant que conteneur dans les clusters Kubernetes, ce qui permet d’utiliser le modèle de programmation Azure Functions et son contrôleur de mise à l’échelle avec toute implémentation de Kubernetes, dans le Cloud ou on-premises avec OpenShift.
    • Azure Policy pour AKS permet d’appliquer des règles de fonctionnement globalement et aide à protéger les clusters AKS de manière centralisée et cohérente. Azure Policy bloque toutes les violations qui se produisent lors de l’exécution et effectue des évaluations de conformité sur tous les clusters existants pour une visibilité à jour sur l’application des règles sur l’intégralité de l’environnement.
  • Build a également été l’opportunité pour Microsoft d’annoncer l’open sourcing des compilateurs et simulateurs Q#, son langage de programmation spécifiquement conçu pour rendre accessible le développement pour l’informatique quantique. Cette décision a pour ambition de développer et stimuler la communauté des développeurs Q# en leur permettant d’explorer de nouvelles possibilités, et débloquer de nouvelles opportunités pour les partenaires et les start-ups de Microsoft.
  • Azure Active Directory (Azure AD) fait son entrée sur GitHub:
    • Cela permet aux clients de GitHub Enterprise d’accéder à tous les avantages liés à la gestion, à la sécurité et à la synchronisation des comptes Azure AD.
    • Les développeurs peuvent désormais également utiliser leur compte GitHub existant, y compris Azure Portal et Azure DevOps, pour se connecter à Azure. Cette mise à jour permet aux développeurs GitHub de passer du dépôt de code à son déploiement uniquement en utilisant leur compte GitHub.
  • Une nouvelle option hyperscale (CITUS) dans Azure Database pour PostgreSQL rejoint Azure SQL Database hyperscale. Cette nouvelle option permet aux développeurs de créer des applications hautement évolutives et à faible latence, et ce en utilisant leurs compétences existantes. Azure Database gère les ressources de calcul, de stockage et de mémoire en fonction des besoins, ce qui permet aux développeurs de se concentrer sur leur cœur de métier, la création d’applications, sans se soucier des limitations de performances et d’échelle. Azure est le seul Cloud qui permet aux développeurs d’évoluer sur plusieurs moteurs, des bases de données SQL propriétaires aux bases de données Open source telles que PostgreSQL.

Sécuriser le processus électoral grâce aux nouvelles technologies

Microsoft est convaincu que la technologie peut jouer un rôle crucial dans la sécurisation des élections, et donc que les entreprises de la tech ont une responsabilité en la matière. Aujourd’hui, Microsoft annonce deux nouvelles solutions visant à répondre aux forts enjeux de sécurité liés aux élections dans le monde entier :
  • ElectionGuard est un kit gratuit de développement de logiciels open source, développé en partenariat avec Galois, qui assure la sécurité et la vérifiabilité publique pour les élections, et fournit des conseils et des outils pour construire des systèmes de vote plus accessibles. L’ambition de Microsoft avec ElectionGuard est que les développeurs du monde entier s’en emparent pour sécuriser les systèmes de vote, ceux d’aujourd’hui comme de demain.
    • Le SDK ElectionGuard sera disponible cet été sur GitHub, et Microsoft s’est associé à plusieurs entreprises de premier plan spécialisées en technologies électorales pour piloter ce service en prévision des futures élections.
  • Microsoft annonce également Microsoft 365 for Campaigns. Ce nouveau service, également disponible en juin (après une première version déployée au sein des instances fédérales aux Etats-Unis), s’adresse en premier lieu aux partis politiques en mettant à leur disposition une version de Microsoft 365 Business dotée des dernières avancées en termes de cybersécurité. Microsoft 365 for Campaigns sera disponible à faible coût et préconfiguré pour être nativement adapté aux exigences du secteur : un rythme très rapide et des risques de sécurité particulièrement importants. Pour ce faire, la solution s’appuie sur le service de détection des cybermenaces et d’attaques étatiques d’AccountGuard, annoncé en 2018. Les organisations intéressées peuvent se renseigner en se rendant ici.

S’investir toujours plus aux côtés des partenaires

Les partenaires de Microsoft sont essentiels pour développer des solutions qui répondent aux besoins spécifiques à certains secteurs d’activité. Depuis l’introduction du premier programme de co-selling de Microsoft, qui permet à ses partenaires au niveau mondial de bénéficier des forces de vente de Microsoft, près de 3000 ISV fonctionnant sur Azure ont généré plus de $5 milliards de revenus au cours des 12 derniers mois. Le programme original est conçu pour assister les clients des partenaires de Microsoft dans leur transformation numérique en leur mettant à disposition des solutions pertinentes grâce aux ISV basés sur Azure. Aujourd’hui, Microsoft annonce deux extensions à ce programme:
  • L’extension des possibilités de co-selling à Microsoft 365, Dynamics 365 et à la Power Platform, dans l’objectif d’approfondir la collaboration entre Microsoft et ses partenaires dans la vente d’applications métier ;
  • L’élargissement des incitations aux partenaires de Microsoft lorsqu’ils revendent des solutions ISV éligibles via le programme de fournisseur de solutions Cloud (CSP) de Microsoft. Pour tous les ISV, petits et grands, cela offre un Canal as a Service pour accélérer les gains clients grâce à l’un des plus grands canaux de distribution au monde.
  • Avec l’introduction des capacités transactionnelles basées sur le SAAS pour AppSource et AppSource
Azure Marketplace Microsoft fournira aux clients de plus de 141 pays un accès plus rapide à l’innovation de ses partenaires via les marchés Cloud de Microsoft ou à travers ses canaux de revente mondiaux.

Movavi Video Converter : un outil pour compresser et convertir les fichiers vidéo, audio ou image sur Windows ou Mac-sam time-

Movavi Video Converter : un outil pour compresser et convertir les fichiers vidéo, audio ou image sur Windows ou Mac

Movavi video converter permet de convertir les fichiers vidéo audio ou image dans tous les autres formats, mais aussi de les compresser sans perte de qualité.


Problème de son, non-lecture d’un format sur un appareil ou fichier trop lourd…vouloir jouer entre les formats tout en conservant la qualité d’un fichier peut se révéler un chouilla périlleux. Évidemment, il existe des outils en ligne gratuits qui permettent souvent de convertir une vidéo ou un fichier audio dans d’autres formats, toutefois le spectre de choix reste parcellaire, il y a souvent une perte de qualité et l’optimisation de la compression n’est pas au rendez-vous.
En matière de compatibilité de formats multimédia, celui qui doit jongler entre différents appareils et différents formats est souvent démuni. Video Converter de Movavi est un logiciel qui offre une réponse aux besoins de conversion et de compression pour les particuliers et professionnels
La base de l’outil repose sur la possibilité de convertir et d’exporter n’importe quel format multimédia vidéo, audio et image (la palette est large AVI, MP4, FLV, MPEG-1,2, MOV, MKV, WMV, VOB, 3GP, SWF, MP3, AAC, WAV…180 formats en tout) dans tous les autres formats, mais également compresser les fichiers existants pour pouvoir gagner de la place sur un disque, tout en maintenant une qualité optimale et en les rendant lisibles sur l’ensemble des lecteurs vidéos et appareils mobiles (iPad, iPhone, Android, Samsung Galaxy, Xbox, Sony PlayStation, Google Nexus). Le gros plus est que l’ensemble des opérations se fait particulièrement rapidement, et ce, même si différents fichiers sont convertis simultanément en bulk.
Au-delà de la possibilité d’upload et d’exporter dans n’importe quel format multimédia, le logiciel de Movavi offre un certain nombre de fonctionnalités d’édition. Ainsi, l’outil permet d’opérer des cuts et des assemblages de format, de stabiliser et optimiser la qualité, de recadrer et pivoter l’image et d’ajouter des légendes.
Le logiciel est gratuit pendant une semaine. À la fin de période de test, il est possible de choisir entre Video Converter (Original) à 29,95€ et Video Converter Premium au prix 39,95€. L’achat se fait sur le modèle d’une licence à vie.

15-Year-Old Photographer Makes Toy Cars Look Like Life-Size Autos

  Finding the right subject is a struggle for many photographers. That's why some get creative with what is available to them. 15-year-o...