Revivez le tchat sur les métiers du numérique-sam time-

Le numérique est partout, touche tous les secteurs et ne cesse de recruter. Plus de 200 000 postes seront à pourvoir d’ici 2022, l’occasion pour les jeunes, notamment les filles de s’orienter vers ces filières. Mercredi 11 mars, vous avez pu poser vos questions en direct sur les formations et les métiers du numérique à Sophie Viger, directrice générale de l'école 42, Aroua Biri, experte en cybersécurité et Sylvie Boudrillet, psy-EN au CIO mediacom. Retrouvez l'intégralité des échanges.
Les métiers du numérique (carrousel)
Le modérateur : Bonjour et bienvenue sur ce nouveau tchat de l'Onisep. Aujourd'hui, nous parlons des formations et métiers du numérique. Vous pouvez commencer à poser vos questions.
Sophie Viger, directrice générale de l'école 42, et Aroua Biri, experte en cybersécurité et en big data, vont y répondre en direct. Les psy-EN du CIO Médiacom sont là également pour répondre aux questions d'orientation. 
Sophie Viger : Bonjour. Je suis la DG de 42. Je suis ravie d'être là. J'espère pouvoir vous aider au mieux que je peux. 
Aroua Biri : Bonjour à tous. C'est Aroua, experte en cybersécurité. Je suis là pour répondre à toutes vos questions, avec grand plaisir. 
Sophie Viger, directrice générale de l'école 42, Aroua Biri, experte en cybersécurité et Sylvie Boudrillet, psy-EN au CIO mediacom ont répondu à vos questions.
Onyx : Je souhaite travailler dans la cybersécurité. Quelles écoles et formations pouvez-vous me conseiller ? 
Aroua Biri : Je vous conseille les formations labellisées "SecNumedu". Le but de ce label est "d’apporter une assurance aux étudiants et employeurs qu’une formation dans le domaine de la sécurité du numérique répond à une charte et des critères définis par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) en collaboration avec les acteurs et professionnels du domaine (établissements d’enseignement supérieur, industriels…)".
Vous trouverez en cliquant ici la liste des formations labellisées "SecNumedu".
Math55 : Est-ce qu'il y a beaucoup de travail dans la cybersécurité ? 
Aroua Biri : Oui, 61 % des organisations ont des difficultés à embaucher des professionnels de la sécurité (Source : Gartner). Aussi, il y aura 3,5 millions d'emplois non pourvus, dans le monde, en cybersécurité d'ici à 2021 (source : Cybersecurity Ventures).
Juliette : Je suis actuellement en première (avec les spécialités mathématiques, physique-chimie et sciences de l'ingénieur) et je suis intéressée par la programmation. Je pense faire une école d'ingénieur. Je vais donc suivre un cursus d'ingénierie général pour me spécialiser dans l'informatique. Cependant, je crains les matières rébarbatives de la prépa et de l'école (physique, électricité...). Pensez-vous que cela vaut le coup d'aller en école d'ingénieur ? 
Sophie Viger : Cela dépend de l'objectif que vous poursuivez. Les métiers du développement informatique sont tellement en tension que l'employabilité est très forte. Il n'y a donc pas de nécessité absolue à faire une formation d'ingénieur pour faire un métier dans le développement informatique. D'ailleurs, les salaires d'embauche que vous ayez fait ou non une école d'ingénieurs sont maintenant très proches. Par exemple, 42 est accessible sans aucun diplôme et nous avons 100 % d'embauche. 
Utilisateur34 : Vous pouvez m’expliquer ce qu’est la cybersécurité ?
Utilisateur29_1 Bonjour, que regroupe exactement la cybersécurité ? Utilisateur18 : En quoi consiste la cybersécurité ?
Aroua Biri : La cybersécurité, c'est protéger l'économie et les personnes. Mais pas uniquement. La cybersécurité comprend une palette de métiers pouvant couvrir une ou plusieurs des dimensions suivantes : organisationnelle, fonctionnelle, technique, juridique, commerciale, marketing, communication, etc. 
Lululu : Je souhaite partir dans des études en informatique. Je voudrais savoir quelle orientation prendre sachant que je souhaite faire essentiellement de la pratique dans ma formation. 
CIO Mediacom : Si vous envisagez des études postbac dans le domaine de l’informatique alliant enseignements théoriques et professionnels, vous pouvez envisager :
  • un brevet de technicien supérieur (BTS) - SIO (services informatiques aux organisations numériques) option SLAM (solutions logicielles et applications métiers) de préférence,
  • un DUT (diplôme universitaire de technologie) Informatique ou MMI (métiers du multimédia et de l’internet) etc.,
  • ou une école spécialisée, école d’ingénieur.

Pour les BTS et les DUT, vous pourrez suivre ces formations en alternance ou à temps plein. 
Utilisateur34 : il y a quoi comme métier dans le numérique ? 
Sophie Viger : Il y a pléthore de métiers. Bien sûr, celui de développeur. Mais aussi tous les métiers autour du marketing, du graphisme, de la commercialisation, etc.
Ce qui est intéressant surtout, c'est que le numérique est maintenant dans tous les secteurs. Vous pouvez donc suivre une formation en informatique et travailler dans le secteur de la mode, de la banque, de la santé, de l'éducation, etc. Tous les métiers d'avenir sont connectés au numérique. 
matheo : Avez-vous un exemple de profession dans la cybersécurité ?
Atil : Madame Biri, quels sont les métiers que l'on peut faire dans la cybersécurité ? 
Aroua Biri : L’ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information) a établi une liste de 19 profils métiers classés en 5 catégories :





Vous trouverez en cliquant ici la description de ces profils métiers (dernière mise à jour : 24 octobre 2018). 
Karin : Bonjour. Faut-il avoir au préalable des connaissances en informatique pour se lancer dans des études informatiques ? 
Sophie Viger : Non, absolument pas. Comme dans tous les domaines, on commence par être débutant. Et surtout, il faut se débarrasser du cliché « code = bon en maths ». Il a été prouvé que les personnes littéraires étaient très bonnes dans l'apprentissage du langage (informatique). N'oubliez pas que l'informatique, c'est l'avenir. Essayez, avant de fermer la porte ! 
Loman : Je souhaite en septembre faire un BTS SIO ou SNIR pour ensuite travailler en cybersécurité/cyberdéfense. Quelle formation est la plus adaptée pour ce secteur et quelle autre formation faut-il faire pour compléter ses compétences (licence, certification, master...) ? 
Aroua Biri : Les deux intègrent la cybersécurité dans leurs cursus. Donc votre choix se fera selon les compétences en cybersécurité que vous souhaitez acquérir. Par ailleurs, je vous conseille les formations labellisées « SecNumedu ».
Le but de ce label est "d’apporter une assurance aux étudiants et employeurs qu’une formation dans le domaine de la sécurité du numérique répond à une charte et des critères définis par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) en collaboration avec les acteurs et professionnels du domaine (établissements d’enseignement supérieur, industriels…)".
En cliquant ici la liste des formations labellisées "SecNumedu".
XenonX : Les entreprises prennent-elles des bac +5 ou plutôt des bac +3 ? 
Sophie Viger : Traditionnellement, les entreprises prenaient plutôt des bac +5, profil ingénieur. Mais le besoin en talent digital ayant tellement augmenté, les entreprises ont commencé à ouvrir leur recrutement à d'autres profils. D'ailleurs, il existe désormais de nombreuses formations accessibles même sans le baccalauréat : 42, mais pas seulement, la Webacadémie, le Samsung Campus, Simplon, etc. 
Sophie Viger, directrice générale de l'école 42, Aroua Biri, experte en cybersécurité et Sylvie Boudrillet, psy-EN au CIO mediacom ont répondu à vos questions.
Utilisateur59 : Pensez-vous qu'il vaille mieux se spécialiser dès l'entrée en école d'ingénieur dans la sécurité informatique ou vaut-il mieux faire un cursus plus global dans le domaine de l'informatique et se spécialiser lors d'une dernière année d'études ?
Aroua Biri : Cela dépend de vos aspirations. Si vous souhaitez avoir un profil et des compétences très techniques, vous pouvez vous spécialiser dès le début. Mais si vous voulez acquérir une large palette de compétences digitales, en plus de la cybersécurité, vous pouvez vous spécialiser en cybersécurité lors d'une dernière année d'études. 
Ben : Quel est le profil des candidats de votre école 42 ? 
Sophie Viger : Il est très varié. La moyenne d'âge est de 23 ans, mais nous avons des apprenants de 17 à 54 ans. Il n'y a pas de prérequis de diplôme. Nous avons des personnes qui n'ont pas le baccalauréat et des étudiants de très grandes écoles, en même temps.
Ce qui compte, à 42, ce n'est pas le diplôme, mais la motivation et le potentiel. Et nous avons à cœur de féminiser nos effectifs. Il est très important que les jeunes filles s'engagent dans ces métiers d'avenir. 
Utilisateur54 Bonjour. Mon fils est en seconde général, son choix de parcours est STI2D. Il aimerait faire de la conception de sites et du codage. Est-ce la bonne direction ? 
CIO Mediacom : Le bac STI2D est bien adapté pour poursuivre des études postbac dans le domaine de l'informatique (conception de sites et codage). 
Soso12 Bonjour, mon fils souhaiterait exercer plus tard le métier de concepteur multimédia. Quel bac est le plus adapté ? 
CIO Mediacom : Un Bac pro SEN, un bac général ou un bac STI2D. Le choix doit tenir en compte des goûts pour les matières étudiées, des résultats scolaires, des centres d’intérêts et des projets de poursuite d’études. N’hésitez pas à vous rapprocher de son professeur principal et du ou de la psychologue de l’Éducation nationale pour être accompagné dans le projet. 
Utilisateur78 : Si on a suivi une formation orientée programmation, sera-t-il possible d'accéder à d'autres métiers du numérique comme le design par exemple ?
Sophie Viger : Oui, bien sûr. En complétant par la suite par une formation adaptée. 
Krystel42 : Mon fils souhaite devenir technicien informatique. Son souhait s'est vraiment concrétisé après son stage en entreprise (informatique). Quelle orientation serait la plus adaptée ? Général ? Technologique ? Ou bac pro (CEN) ? Merci d'avance pour vos réponses. 
CIO Mediacom : Un bac pro SEN, un bac général ou un bac STI2D. Le choix doit tenir en compte des goûts pour les matières étudiées, des résultats scolaires, des centres d’intérêt et des projets de poursuite d’études. N’hésitez pas vous rapprocher de son professeur principal et du ou de la psychologue de l’Éducation nationale pour être accompagné dans le projet. 
Utilisateur29_1 Quelle est la plus-value de prendre NSI en première si on ne poursuit pas ses études dans le numérique ? 
Sophie Viger : Même si vous ne poursuivez pas vos études en informatique, c'est un avantage de comprendre le monde d'aujourd'hui et de demain, qui va être de plus en plus digitalisé. Il n'y a pas que les métiers de l'informatique qui nécessitent des connaissances en numérique. Tous les métiers sont amenés à se digitaliser. 
Sylvie : Bonjour, mon fils est actuellement en 3e et souhaite devenir programmeur en informatique... Peut-il s’orienter vers une voie professionnelle et laquelle ? Sinon y a-t-il d’autres métiers en informatique par voie professionnelle ? Merci d’avance pour votre réponse. Cordialement. 
CIO Mediacom : Le bac professionnel Systèmes numériques, principalement avec l'option C (réseaux informatiques et systèmes communicants) en 3 ans après la classe de 3e permet, avec un bon dossier, de poursuivre vers un BTS dans le domaine de l'informatique.  
lola77 : Est-ce qu'il faut se spécialiser dès le départ pour travailler dans la cybersécurité ou est-ce qu'il vaut mieux avoir des bases généralistes en informatique et se spécialiser après ? 
Aroua Biri : Il vaut mieux avoir des bases généralistes en informatique. Il existe des formations qui permettent d'acquérir des compétences en cybersécurité tout en acquérant des bases généralistes en informatique.
En cliquant ici la liste des formations labellisées "SecNumedu".
mathy : Est-ce qu'il est conseillé d'avoir des connaissances en droit pour travailler dans la cybersécurité ? 
Aroua Biri : Oui, une culture générale en droit est importante, car, de plus en plus, les questions juridiques se posent dans le domaine de la cybersécurité. Il existe même des profils métiers, notamment celui de juriste spécialisé en cybersécurité. 
Any : Bonjour, cette question est plutôt destinée à Sophie Viger. Je suis actuellement à 42 depuis quelques mois. J'aimerais cependant acquérir des connaissances plus « académiques » (i.e. l'histoire de l'informatique, les types d'architectures, etc.). Quelle serait selon vous la meilleure manière d'accéder à ces connaissances ? 
Sophie Viger : La pédagogie de 42 repose sur le développement de vos capacités à trouver des solutions par vous-mêmes. Vous devriez déjà savoir ça ! :) 
Tina : J'aimerais bien faire votre école. Ce qui me plaît c'est la pédagogie et le fait que ça soit l’école de la deuxième chance. Ce qui m’inquiète, c'est la piscine. Est-ce qu'il faut déjà s'y connaître en codage ? 
Sophie Viger : C'est malheureusement une question que se posent beaucoup de filles avant de venir à 42. La réponse est : non, pas besoin d'avoir déjà des connaissances. Vous pouvez tout à fait réussir la piscine sans avoir déjà programmé. À titre personnel, je vous dis : « venez ! Vous avez tout à fait votre place à 42 » :) 
Elissa : Je suis en seconde, je ne m'en sors pas. Existe-t-il un stage passerelle au lycée Valabre pour une filière numérique ? Vous remerciant par avance. 
CIO Mediacom : Pour connaître l’existence de stages passerelles en direction de filières numériques, vous devez vous adresser à votre professeur principal, au chef d’établissement et/ou au, ou à la, psychologue de l’Éducation nationale.
Vous trouverez des informations sur les métiers du numérique en allant sur cette page.
bertrand : Je voudrais savoir si c'est possible de faire un BTS informatique après un bac pro.
CIO Mediacom : Avec un très bon dossier ou une mention à l'examen, une poursuite d'études est envisageable en BTS si vous êtes titulaire ou en préparation d’un bac pro du même champ professionnel. Par exemple, dans le domaine de l’informatique, avec un bac pro « Systèmes numériques » vous pouvez envisager de poursuivre en BTS « Services informatiques aux organisations (SIO) » ou « Systèmes numériques ».
Taïs : Bonjour, mon prof principal m'a parlé du programme NSI que l'on pourra prendre en classe de 1re mais qui n'existe pas encore. Vous pourriez me donner des infos dessus ? 
CIO Mediacom : L'enseignement de spécialité Numérique et Sciences informatiques propose aux lycéens de découvrir des notions en lien, entre autres, avec l'histoire de l'informatique, la représentation et le traitement de données, les interactions homme-machine, les algorithmes, le langage et la programmation. Le lycéen s'y approprie des notions de programmation en les appliquant à de nombreux projets. La mise en œuvre du programme multiplie les occasions de mise en activité des lycéens, sous diverses formes qui permettent de développer des compétences transversales (autonomie, initiative, créativité, capacité à travailler en groupe, argumentation, etc.). Cette description est disponible sur le site Horizon2021
Utilisateur65 : Est ce qu'il y a beaucoup d'informatique dans la domotique ou l’automatisation avec des objets connectés ? 
Sophie Viger : Oui, tout à fait. Mais il y a aussi du design bien sûr. 
Utilisateur115 : Bonjour mon fils a 19 ans et il a arrêté les cours mais il souhaiterait travailler dans l'informatique. Y aurait-il un moyen pour qu'il puisse travailler ? Et si oui comment ? Merci d'avance pour votre réponse cordialement. 
Sophie Viger : Pour travailler en informatique, il est nécessaire d'avoir un minimum de bagage, qu'il peut acquérir soit de manière autodidacte soit dans une formation. Et, quel que soit son profil, il pourra nécessairement trouver une formation, y compris une formation gratuite. 
MARIE Kelyan : Bonjour, Quelle orientation conseillez-vous après la 3e ? Est-il souhaitable d'avoir des connaissances avant de commencer des études en informatique ? Merci pour vos réponses 
CIO Mediacom : Un Bac pro SEN, un bac général ou un bac STI2D. Le choix doit tenir en compte des goûts pour les matières étudiées, des résultats scolaires, des centres d’intérêt et des projets de poursuite d’études. N’hésitez pas vous rapprocher de son professeur principal et du ou de la psychologue de l’Éducation nationale pour être accompagné dans le projet. 
Sophie Viger, directrice générale de l'école 42, Aroua Biri, experte en cybersécurité et Sylvie Boudrillet, psy-EN au CIO mediacom ont répondu à vos questions.
Kevin : Bonjour je suis actuellement en première dans un lycée d'élite à Paris et je voudrais faire une école d'ingénieur postbac comme EPITA étant vraiment intéressé par la cybersécurité. Je souhaiterais savoir si le lycée d'origine est pris en compte par ces écoles. J’ai actuellement des notes en maths autour de 10/11 et en physique de 12/13 avec une moyenne générale d’environ 13,5. Serait-il mieux que je retourne dans mon lycée de secteur qui est beaucoup moins bon en termes de classement pour avoir 16/17 de moyenne, ou est-il préférable de rester dans ce lycée d’élite ? Que me conseillez-vous pour avoir le plus de chance d'être admis ? Merci beaucoup. 
CIO Mediacom : L’admission dans une école comme EPITA nécessite de s’inscrire au concours Advance via la plateforme Parcoursup. Cette sélection prend en compte le dossier scolaire pour une évaluation générale du candidat. Puis des épreuves orales et/ou épreuves écrites. Les changements d’établissement entre la première et la terminale qui constituent un cycle sont rares. La commission d’examen des vœux de la formation envisagée pondère ses avis en fonction des établissements d’origine qu’ils connaissent généralement. 
Utilisateur59 : Pour vous, quel est le meilleur moyen pour apprendre en autodidacte ? Openclassrooms ? 
Sophie Viger : Openclassrooms est un excellent site pour apprendre à distance. Il en existe plein d'autres, comme Coursera, Udemy, etc. Mais Openclassrooms est français :).  
karine : Bonjour, mon fils, actuellement en 3e, est fortement intéressé par le métier de programmeur auquel on peut accéder principalement par le BTS Systèmes numériques. Est-il plus judicieux de faire un bac STI2D ou bien un bac pro Système numérique au préalable ? 
CIO Mediacom : Le choix doit tenir compte de ses goûts pour les matières étudiées, ses résultats scolaires, ses centres d’intérêt et ses projets de poursuite d’études. Au 3e trimestre, à partir des résultats et du bilan scolarité de votre enfant, le conseil de classe fait une proposition de poursuite d’études (seconde générale et technologique ou seconde professionnelle ou 1re année de CAP). Si cette proposition est identique à vos souhaits, elle devient décision d’orientation. 
Meuhwa L'option NSI en seconde générale est-elle une bonne chose pour savoir si l'informatique nous intéresse réellement ? Est-ce de la formation ou de la découverte ? 
Muriel : ma fille est en seconde. Elle est intéressée par le numérique mais ne sait pas encore si elle veut en faire son métier. Doit-elle prendre la spécialité NSI en 1re ? 
Sophie Viger : Je ne connais pas assez l'enseignement de spécialité NSI. Malheureusement, s'il est trop théorique, il pourrait rebuter des personnes très bonnes en informatique mais qui apprennent mieux par la pratique. 
Mathilda-hulli : Bonjour, mon fils voudrait devenir codeur développeur et il aimerait passer par la voie du bac pro. Est-ce possible ?
CIO Mediacom : Le développeur informatique est le pro des langages informatiques. Responsable de la programmation, c'est-à-dire de la production de lignes de code, il rédige et suit un cahier des charges précisant les spécificités techniques à suivre pour créer le programme. Pour un titulaire d’un bac pro, avec un très bon dossier ou une mention à l'examen, une poursuite d'études est envisageable en BTS. Par exemple, dans le domaine de l’informatique, avec un bac pro "Systèmes numériques" il est possible d’envisager de poursuivre en BTS "Services informatiques aux organisations (SIO)", ou "Systèmes numériques".
Titouan22 : Je suis intéressé par le domaine numérique et plus précisément le développement sur mobile. Est-il possible de faire une licence pro en informatique, car je suis très motivé et sérieux ? De plus, mes notes sont correctes en BTS. 
CIO Mediacom : Vous pouvez envisager de poursuivre vos études à la suite de l’obtention de votre BTS, et notamment dans le cadre de la Licence pro métiers de l'informatique : conception, développement et test de logiciels qui est proposée au sein de 37 établissements sur toute la France. Vous pouvez également vous renseigner sur la formation proposée par l’IT Akademy Développeur d'application full stack proposée en alternance. 
mateo : Actuellement en 3e et intéressé par le numérique et l'informatique, j'aimerais savoir quelle voie est la plus adaptée entre une STI2D ou un bac pro SN pour aller en BTS SN?
CIO Mediacom : Votre choix doit tenir compte de vos goûts pour les matières étudiées, vos résultats scolaires, vos projets, etc. N'hésitez pas à vous rapprocher de votre professeur principal ou de le/la psychologue de l'Éducation nationale pour être accompagné. Le BTS SN est sélectif. L'important est aussi d'avoir le meilleur dossier afin de s'assurer une place dans cette formation. 
Akabsa nougmo Christian Dominique : Comment faire pour être étudiant dans votre établissement ?
Sophie Viger : Vous pouvez tout simplement vous inscrire sur 42.fr. Il y a des tests en ligne, de mémoire et de logique. Si vous les réussissez, vous aurez la possibilité de participer au test final de la piscine : 4 semaines d'immersion à 42. 
Naël : Doit-on aimer programmer pour faire des études d'informatique ? 
Aroua Biri : Non, pas forcément. Par exemple, dans la cybersécurité, on a des dimensions fonctionnelles pour différents profils métiers. Mais il faut essayer de programmer : c'est comme ça qu'on sait si on aime ça ou pas.
Diane_montcel : Bonjour, en tant qu'élève de seconde, j'hésite à prendre des enseignements de spécialités liés au numérique ou à l'informatique parce qu'on me dit qu'il n'y a pratiquement que des métiers d'hommes par la suite. Est-ce que c'est vrai ? Vous avez beaucoup d'étudiantes dans votre école ? Merci pour votre réponse !!! C'est mon frère qui m'a fait aimer le côté informatique en le voyant jouer aux jeux vidéo. 
Julia : Mme Viger, vous étiez passionnée par l'informatique pour faire ce métier aujourd'hui ? Est-ce que ce n'est pas un métier où on retrouve plus d'hommes que de femme ? Est-ce que c'est en train de changer ? 
Sophie Viger : Bien sûr qu'il y a plus d'hommes et il faut absolument que cela change ! Il n'y a aucune raison biologique qui montre que les femmes ont moins d'appétence ou moins de douance pour l'informatique. Ce n'est donc qu'une question culturelle. Or, les femmes se privent de métiers fantastiques, intéressants, vivants, passionnants, extrêmement bien payés, dans un domaine d'avenir. De plus, le manque de femmes dans l'informatique est dramatique pour notre avenir à tous, car l'avenir sera digital et ne peut pas être écrit sans la vision des femmes. 
Aroua Biri : Je confirme qu'actuellement, dans la cybersécurité, il y a peu de femmes. Mais c'est en train de changer. J'invite toutes les filles, toutes les femmes et tous les hommes aussi à s'intéresser à ce domaine passionnant et où la rémunération est très attractive. 
Le Modérateur : Le tchat se termine... Nous allons conclure. 
Aroua Biri : Ça m'a fait plaisir de partager ce moment avec vous et avec toute l'équipe de Mediacom. N'hésitez pas à me contacter par LinkedIn si vous avez d'autres questions. 
Sophie Viger : Merci mille fois et chapeau bas à l'Onisep et au CIO Mediacom pour l'organisation sans faille (et merci pour les chocolats !) 
Le Modérateur : Merci à toutes et à tous pour votre participation. Merci à Sophie Viger et Aroua Biri, et aux psy-EN du CIO Médiacom pour leurs réponses et leurs conseils.

Une machine peut-elle penser ?- Sam time-

Une machine peut-elle penser ?

Vieux rêve ancestral de la philosophie occidentale, revisité par les potentialités révolutionnaires d’un domaine scientifique en pleine expansion : l’intelligence artificielle.
Image : REUTERS/Kim Kyung-Hoon
En collaboration avecThe Conversation
Alan Turing, concepteur d’une machine universelle ayant conduit au concept d’ordinateur, s’est posé très tôt la question : une machine peut-elle penser ? Vieux rêve ancestral de la philosophie occidentale, revisité par les potentialités révolutionnaires d’un domaine scientifique en pleine expansion : l’intelligence artificielle.
La question historique d’Alan Turing
Pour répondre, Alan Turing propose un test soumettant l’ordinateur au jeu de l’imitation : il s’agit, par des questions libres posées par un interrogateur humain, d’utiliser les réponses obtenues pour déterminer, lors d’une conversation en aveugle, s’il converse avec un autre humain ou avec un ordinateur.
Après nombre de discussions et de querelles, il est actuellement admis que ce test n’est pas apte à répondre à la question posée, celle de l’intelligence d’un système informatique. Pourquoi ? D’abord pour des raisons pratiques : le temps nécessaire pour trouver la question clé permettant formellement l’identification de la machine pourrait être extrêmement long. La question est ambiguë : que mesure-t-on en pratique ? quels sont les termes de l’équation à résoudre : pensée, intelligence, compréhension ? Se posent aussi des questions interprétatives d’ordre sociologique et culturel de l’interrogateur, avec des risques de dérives de jugement de comportements humains plutôt que d’intelligence proprement dite. Enfin, une potentielle question d’indécidabilité resterait liée à l’autoréférence d’une intelligence interrogeant une éventuelle autre intelligence.
Actuellement, compte tenu des corrélations entre les recherches sur le cerveau et celles sur les réseaux de neurones artificiels, il est possible de reformuler la question de l’intelligence artificielle sous la forme suivante : un système d’intelligence artificielle peut-il être conscient ?
Mesurer la conscience, ce « sentiment de soi »
Différentes études sur le cerveau humain ont amené des progrès considérables dans la compréhension des processus complexes liés au « problème difficile de la conscience ». Considérant que la conscience est un phénomène réel physiquement analysable et se référant à la théorie de l’information, les neuroscientifiques Giulio Tononi et Christof Koch, spécialistes des sciences de la conscience, ont proposé une voie permettant d’évaluer le degré de conscience d’un système cérébral humain.
À partir d’études complexes des activités électromagnétiques d’un cerveau en éveil, en travail, en sommeil profond ou en état végétatif, Giulio Tononi a élaboré une théorie de gestion neuronale dite « de l’information intégrée », selon laquelle la quantité effective d’information intégrée correspondrait au niveau de conscience d’un individu : il établit un coefficient de conscience, noté Φ. Ce coefficient est calculable et représenterait le taux d’intégration de l’information, c’est-à-dire une mesure de l’information échangée entre les sous-systèmes en interactions dans le réseau cérébral en phase d’activité. En d’autres termes, selon Giulio Tononi, les informations inhérentes aux processus cérébraux – ici, la conscience, le sentiment de soi – sont d’autant plus intégrées que l’entropie, qui mesure le désordre, est faible. Ceci revient à supposer que l’entropie soit liée à toute activité neuronale animale.
Opérer de la sorte revient à considérer le phénomène de conscience comme élément d’une réalité objective descriptible analytiquement. Or, bien que certains états de conscience soient liés à des sensations, le passage du degré de conscience donné par la valeur de Φ à la perception d’un ressenti subjectif, comme un sentiment, reste pour le moins énigmatique. Quelle est la relation entre le ressenti et Φ ? Associer information intégrée et états sensoriels appellerait plus ample justification.
L’épineux problème de la conscience des machines
Et Giulio Tononi et Christof Koch n’hésitent pas à aller au-delà puisqu’ils proposent d’étendre le calcul du facteur Φ aux animaux et à tout système physique non biologique générant ou recevant de l’information, ce qui est nécessaire pour calculer Φ. Selon ces auteurs, ce coefficient représenterait une mesure de son état de conscience. Hypothèse non triviale puisqu’elle reviendrait à supposer l’universalité de l’existence d’une dimension psychique liée à l’information. Hypothèse sortant stricto sensu du cadre de la science et qui rejoindrait un philosophisme de type panpsychisme auquel ont adhéré Spinoza, Leibniz et Teilhard de Chardin.
Dernière question embarrassante : que signifierait le calcul de Φ pour Internet ? Nul ne le sait ! Mais intéressant sujet de science-fiction !
Le défi de la machine qui pense
Le problème posé est le suivant : est-il possible de concevoir une structure matérielle dotée de caractéristiques psychiques à partir des moyens actuels, ou présumés, de l’intelligence artificielle ? Redoutable défi que de prétendre réaliser des fonctions cognitives à partir de la matérialité des neurosciences computationnelles. Les machines, aussi complexes soient elles – par exemple AlphaGo, qui a battu le champion du monde de go en 2017 – restent fondées sur des algorithmes. Le défi majeur est donc le suivant : le potentiel de l’informatique permet-il d’envisager une telle mutation ?
Les machines actuelles ont un fonctionnement déterministe et c’est précisément ce qui en fait tout l’intérêt dans leurs applications aux sciences exactes. La rationalité n’étant pas la qualité première du psychisme, il se pose une question d’adaptation de la méthodologie. Techniquement il est possible de concevoir des programmes qui ne sont pas déterministes, comme les réseaux de neurones artificiels capables d’apprendre et d’auto-évoluer. C’est ce qui fonde l’intelligence artificielle dite forte, qui exige des puissances de calcul et une consommation énergétique énormes.
Mais la situation pourrait changer avec, d’une part, l’apparition de l’ordinateur quantique qui, basé sur le probabilisme des états quantiques des qubits, aurait un fonctionnement non déterministe. Et, d’autre part, avec la puce neuromorphique énergétiquement des plus sobres.
L’ordinateur neuromorphique
Une voie nouvelle est ouverte avec l’ordinateur neuromorphique. L’idée de base, déjà ancienne, consiste à remplacer l’architecture calculatoire de von Neumann, fondant jusqu’ici tous les ordinateurs, par une architecture neuromorphique utilisant des puces neuromorphiques, c’est-à-dire des microcircuits qui fonctionnent comme des microréseaux neuronaux inspirés des réseaux neuronaux cérébraux. Les machines neuromorphiques, dotées d’une certaine autonomie, sont capables de déduction et exécution de tâches fonctionnelles mais surtout d’apprentissage à partir d’exemples et de catégorisation des données acquises. Quelques réalisations existent déjà dont des utilisations dans le traitement et l’exploitation des données. Des microprocesseurs neuromorphiques, capables d’intégrer des milliards d’équivalents neurones associés à des centaines de milliards de synapses artificielles, sont à l’étude (les synapses d’un cerveau humain sont dix mille fois plus nombreuses).
Un des objectifs actuels serait de fabriquer des machines capables d’apprendre en temps réel (c’est le fameux machine learning), autonomes et adaptables à leur environnement. Les champs d’applications sont immenses. Bien que l’ingénierie neuromorphique n’en soit qu’à ses débuts, il s’agit d’un véritable bond technologique auquel s’attaquent les « Grands » de l’informatique comme IBM et Intel, et quelques réalisations spectaculaires existent déjà.
Pourtant, quels que soient les progrès réalisés dans les technologies calculatoires, il reste la difficile question de l’interprétation d’une simulation : le modèle n’est pas l’objet, la simulation n’est pas la réalité. Cette opération se réfère à une modélisation qui est, mais n’est qu’une schématisation plus ou moins exacte de la réalité. Par exemple, un orage simulé ne soumet l’ordinateur ni à la foudre ni à la pluie.
La confusion fantasmagorique entre ordinateurs et « cerveaux électroniques »
Peu après son apparition, certains chercheurs s’aperçurent vite que l’ordinateur est beaucoup plus qu’une machine arithmétique. Puisqu’il est capable de manipuler des symboles abstraits et de faire des inférences logiques, il fut rapidement envisagé de l’utiliser pour des simulations de certaines fonctions cérébrales. Par exemple, le Logic Theorist vit le jour aux États-Unis en 1955 et le General Problem Solver en 1959, donnant l’illusion que la machine pouvait effectuer des tâches exigeant de l’intelligence, par exemple démontrer certains théorèmes.
C’est l’un des pionniers, l’informaticien américain John McCarthy, qui introduisit à son propos, en 1956, l’expression intelligence artificielle. Cette expression prête en fait à confusion et ne fit pas l’unanimité chez les spécialistes car elle confond l’ordinateur avec un « cerveau électronique ». Mais l’optimisme américain et l’opportunisme prévalurent rapidement et vint l’ère des grands discours et des illusions. Ce fut une longue histoire tourmentée qui, après différentes désillusions et de spectaculaires revirements, aboutit finalement à l’état actuel.
Le point essentiel de cette histoire est que, dès le départ, elle a été embarquée dans une confusion des termes. Il ne s’agissait pas, à proprement parler, d’intelligence artificielle mais comme deux de ses principaux artisans, Newel et Simon, le suggérèrent dès le départ, de traitement complexe de l’information.
C’est pourquoi la véritable question qui reste posée, à laquelle il faudrait y répondre en évitant de confondre modèle et objet, est la suivante : est-il possible de concevoir une pensée artificielle ? C’est l’avenir qui décidera.

Les 10 meilleurs outils, produits web et logiciels gratuits de 2019 - Sam Time-

 Nous vous proposons les 10 articles les plus consultés de 2019 sur les produits web et outils à destination des professionnels.
Par Clément Cosnier @clementcosnier
Publié le 18 décembre 2019 à 11h00
meilleurs outils web et logiciels de 2019
Nous avons écrit 176 présentations d’outils, logiciels et produits web en 2019. On ne va pas se mentir, ça en fait un paquet. Certains sont gratuits, d’autres freemium et d’autres encore n’offrent qu’une version payante. Dans la catégorie Outils du Siècle Digital, nous évoquons les produits web professionnels, qu’ils soient marketing, sales… orientés productivité ou optimisation etc.
Nous en discuscutions à la rédaction, et l’un des cofondateurs me disaient qu’il serait intéressant d’en faire un petit top 10, notamment pour ceux qui nous lisent, mais ne sont pas abonnés à la newsletter ou encore qui ne peuvent se permettre de consulter la catégorie et son contenu quotidien. Bref, terminons la digression. L’idée est ici de se baser sur les articles les plus populaires plutôt que de réaliser un classement totalement arbitraire. Nous aurions pu également reprendre l’outil qui a généré le plus de trafic chaque mois, on aurait fait une rétrospective, mais certains mois ont vu plusieurs articles sur des logiciels exploser nos stats.
Voilà donc le top 10 des outils, logiciels et produits web qui ont suscité le plus d’intérêt en 2019 !

10 – Pixelixe : un outil pour pour créer des graphs et visuels pour vos ads, réseaux sociaux, blogs…

Pixelixe est un produit web qui permet à ses utilisateurs de générer les éléments visuels de communication pour leur marque. Une bonne alternative à Canva !

9 – Mixkit : une bibliothèque de vidéos de qualité libres de droits

À l’exemple des banques d’images, Mixkit propose une banque de vidéos en accès libre pour venir nourrir vos créations. Pratique !

8 – Email Gmail Templates : une extension Chrome pour transformer les emails reçus en templates éditables et réutilisables

Édité par cloudHQ, Email Gmail Templates est une extension Chrome qui permet de copier les emails que l’on reçoit pour les réutiliser en les customisant. Pourquoi se fouler alors que l’on peut récupérer le meilleur chez les autres ?

7 – Glide : 80 templates PowerPoint soignés en accès gratuit

Offert par Slidor, une agence PowerPoint parisienne, Glide est une collection de templates PPT gratuits, légers, customisables et disponibles pour Mac & PC. Plus d’excuses pour vos présentations !

6 – Right Inbox : une extension Chrome pour un Gmail sous stéroïdes

Fonctionnant sur un mode freemium, Right Inbox permet de doper l’utilisation de sa boîte Gmail avec des fonctionnalités comme les reminders, l’ajout de notes comme dans un CRM, l’automatisation des envois d’e-mails répétitifs, la génération de templates…

5 – Undesign : un catalogue de ressources, outils et designs pour tous vos projets web

Undesign opère un vrai travail de curation et de centralisation pour aider les professionnels avec de nombreuses ressources axées Design.

4 – Pdf.to : un logiciel gratuit pour convertir les formats PDF en Word, Excel, JPG, Word…

Pdf.to facilite la conversion et la compression des formats PDF dans un autre format ou ces mêmes formats en PDF, le tout, gratuitement.

3- Trace : supprimer l’arrière-plan d’une image en quelque seconde

Freetool de l’entreprise de goodies Sticker Mule originellement utilisé pour optimiser le travail des créatifs , Trace permet de détourer rapidement n’importe quelle image.

2 – Backlinks par Neil Patel : un produit web pour connaître ses backlinks…et ceux des concurrents

Backlinks de Neil Patel permet de trouver l’ensemble de vos backlinks et ceux de vos concurrents via un tableau dynamique. Gratuit, puissant et sacrément intéressant pour sa veille.

1 – remove.bg : l’outil pour détourer une image automatiquement

Comme Trace dont je vous parlais plus haut, Remove.bg est un outil web gratuit qui permet de gagner du temps si l’utilisateur n’est pas assez doué ou non utilisateur de Photoshop. Pour réaliser l’opération, rien de plus simple. L’utilisateur télécharge une image et la magie opère en quelques secondes. Le rendu est bluffant et proche de celui d’un logiciel professionnel.
Rendez-vous en 2020.

15-Year-Old Photographer Makes Toy Cars Look Like Life-Size Autos

  Finding the right subject is a struggle for many photographers. That's why some get creative with what is available to them. 15-year-o...